L’équipe Test et le Staff ont pris leurs marques au gîte des 4 saisons à Saint-Régis-du-Coin, dans un logement mis à disposition par l’Office du Tourisme du Pilat, qui a su nous trouver un camp de base idéal, à proximité des différents terrains de test que nous exploiterons pendant la semaine.
Tous les testeurs et testeuses sont arrivées entre midi et deux, le temps d’un rapide repas froid, avant de se plonger dans le Big Test Shoes. Le directeur technique du test, Kévin Saussure, a lancé l’édition avec un briefing général de la semaine, dont une présentation du territoire d’accueil par notre trailer/référant local, Florian Olivier, mais aussi la distribution de la dotation Odlo, partenaire textile exclusif du Test.
Si on était tous un peu inquiets de la météo sur place, nous voilà rassurés avec une première après-midi ensoleillée ! Les premiers “blindtest”(test boutique) sont faits avec la catégorie Road to Trail. On attaque le test terrain (test dynamique) demain matin !
En Road to Trail, les testeuses et testeurs porteront une attention particulière au “déroulé du pied” et à l’amorti des chaussures, facteurs clés d’analyse de la catégorie.
Instagram @trailsendurance
La rédaction / Photos © Gilles Reboisson
]]>Par Julien Gilleron
À 22 ans, alors que le grand public ne te connait pas encore, tu enchaines près de 20 courses sur une saison, du 8K (32’30) au Cami de Cavalls (2e) en passant par la Skyrace. Si tu l’analyses aujourd’hui, était-ce trop de dossards ?
Pau Capell : pas vraiment, je pense, car c’est moi qui les ai accrochés, sciemment, et sans aucun objectif professionnel. En tant qu’amateur, il est vrai que je pouvais aligner des compétitions avec moins de réflexion, mais celles-ci étaient toutes courtes et sans pression : pas de devoir absolu de donner le meilleur de moi-même à chaque fois, donc de bonnes performances mais sans plus. Du coup, la gestion du planning ou des enchainements était plus simple.
10 ans déjà ! A quoi ressemblait la vie de coureur de Pau Capell, avant ces 10km de Sant Boi de Llobregat 2013 ?
PC : A l’inexpérience ! Je n’ai jamais fait d’athlétisme dans ma jeunesse ! J’ai toujours aimé le football, pratiqué tout un tas de sports différents, tennis, padel, golf, voile, basket…jusqu’à découvrir le triathlon. Quand j’y pense, j’ai vraiment – vraiment – fait beaucoup de sport ! Le Pau d’alors vivait très normalement, loin des projecteurs et des médias : étudiant en génie industriel puis rapidement au boulot. J’avais une moto, un scooter, mes potes et j’aimais foncer et m’amuser… disons un garçon « vif » mais jamais conflictuel, toujours entouré socialement, en groupe.
Que t’a apporté le triathlon ?
PC : Un déclic, le vrai point de départ : c’est là que j’ai découvert que je voulais vraiment faire de la compétition. Je suis devenu coureur pour devenir triathlète. J’aimais vraiment pouvoir associer les 3 sports car ça me permettait d’être toujours en mouvement, sur l’adrénaline. Je passais mon temps sur des half Ironman, des formats sprints ou olympiques. On y allait fort et j’adorais cela, puis on m’a conseillé de cibler la course…notamment vu mon faible niveau en natation ! Ca allait mieux à vélo, encore bien mieux à pied. Mais j’ai toujours pratiqué en amateur jusqu’à ce que je creuse la course à pied en m’y consacrant professionnellement.
À partir de 2017, ton volume de courses devient impressionnant et tu acquiers cette image de boulimique : le « coureur de 12 » par an. N’est-ce pas cette charge qui provoquera tes blessures suivantes et l’échec de ton record sur UTMB (2020) ?
PC : Sincèrement, absolument pas : c’est même ce qui m’a permis de gagner l’UTMB 2019, en développant ma capacité à courir, récupérer, m’entraîner ; puis de nouveau courir, récupérer, m’entraîner, etc…et d’être toujours à un très haut niveau de performance. La suite a été identique : j’ai terminé la saison, coupé, repris l’entraînement, la compétition, la récupération, l’entraînement, la compétition, la récupération, etc. Les blessures qui ont suivi provenaient d’une mauvaise gestion de l’entrainement durant la pandémie, sans lien avec mon fonctionnement jusqu’alors. Pendant le Covid – comme tout le monde – je me suis beaucoup préparé à la maison puis j’ai lancé 3 très gros projets off (dont ce « Breaking Twenty » sur l’UTMB) : un mois après Chamonix, j’ai réalisé un record solo sur 187K à Minorque, puis un second record à Ténérife en aller-retour depuis la plage de Socorro jusqu’au Teide (NDLR : plus haut sommet de l’île). J’ai enchainé en partant m’entraîner au Kenya fin 2020 et c’est en revenant du Kenya que je me suis blessé : 2021 a débuté ainsi. Une série de bobos sans fin jusqu’à me rétablir à la fin de l’année. Je pense que c’est davantage la gestion de 2020, la façon dont j’ai géré mon entraînement en salle, que la charge de compétitions, qui l’explique. En outre, je prends soin de moi et suis bien suivi, je consulte dès la moindre alerte, et rien de cet ordre ne s’est produit.
2019 reste une saison historique : 2e sacre sur UTWT, 11 victoires sur 13 courses. La conclusion qu’on peut enchainer les performances ; qu’il n’y a pas de règle générale mais seulement des cas particuliers ?
PC : (Réflexion) Difficile d’en tirer une conclusion, je pense d’abord que c’est la conséquence d’une excellente préparation et d’une grande confiance en soi. Il était vraiment important pour moi de gagner la Transgrancanaria 2019 et à partir de là, j’ai pu enchaîner différentes courses de l’UTWT et y réaliser de très bonnes performances : le capital confiance et l’expérience s’y sont énormément solidifiés. Bien sûr, la victoire à l’UTMB est un booster intérieur inestimable ; mais je retiens d’abord la quantité et la qualité du travail accompli en amont. En plus du physique, générer de la confiance et de l’équilibre, encore et toujours.
N’as-tu pas subi la hausse exponentielle du niveau athlétique depuis 2020, notamment sur l’UTMB ?
PC : A mon avis absolument pas, car depuis 2020, j’ai pu terminer 2e à la TGC ou 3e à l’Ultra Pirineu ; les résultats ont également été très corrects en 2023. Le niveau évolue en effet, je ne suis pas encore « trop vieux » ( !) mais je pense surtout qu’il ne faut pas s’habituer à l’idée qu’il est facile de gagner ou pire, qu’un même athlète doit gagner tout le temps : remporter une victoire, ça signifie tout faire à la perfection dans le meilleur de tes jours. C’est donc rare, pour ne pas dire rarissime, et hyper-exigeant ! Il n’y a qu’un seul vainqueur et énormément de monde derrière. C’est très dangereux de mettre dans la tête d’un sportif qu’il doit systématiquement être le meilleur. Pourquoi ? parce qu’on en oublie la performance pure du coureur, cette transcendance du jour J que sa victoire impliquera, le fait d’aller chercher « encore » plus loin. On se focalise seulement sur la gagne. Or, crois-moi, c’est compliqué de gagner. Très compliqué…
Comment évalues-tu tes saisons 2022/2023 : encore besoin de solidification, ou bien constructives, réussies ? C4était un choix volontaire d’être moins médiatisé ?
PC : 2022 restera une saison compliquée car je revenais de blessure, comme si je redécouvrais la compétition. Un an à bosser sans grands résultats parce qu’il fallait en passer par là. Mais dès 2023, j’ai retrouvé une 5e place à Gran Canaria, fini 2e sur Andorra 100…gagné le Cami de Cavalls 96K, etc. L’UTMB restera un échec à cause de mon infection à la jambe mais au global, j’ai gagné des marathons et d’autres compétitions. C’est constructif….même sans UTMB !
On ne t’aura pas vu fin février sur « ta » TransGranCanaria, pour une bonne raison : sens-tu que cette paternité nouvelle atténue ou modifie ton degré de compétitivité, de combat ? Priorises-tu ta vie sur des choses plus essentielles ? Sans parler du temps disponible (ni du…sommeil).
PC : Je ne sais pas encore ! Cela ne fait qu’un gros mois que Julia est née, et tu imagines la nouveauté pour moi, ma femme, la vie à la maison…Nous essayons de nous adapter au mieux, et la présence d’un enfant génère quantité de responsabilités inédites – tout comme le planning ! Je dois maintenir mes entrainements car c’est mon boulot, difficile de les rater ; je tâche de me reposer du mieux possible la nuit, ou à chaque fenêtre disponible. Si la période nocturne n’est pas trop hachée, je peux réaliser mes séances et consacrer le reste du temps à ma famille. Mais je ne sais pas si cette nouvelle vie aura pour effet de me rendre meilleur ou moins bon. Ma certitude, c’est qu’il y a un nouvel être dans ma vie qui me donne beaucoup de force, et je suis sûr que lorsqu’elle sera plus âgée et plus consciente de ce que font ses parents, elle m’en transmettra encore davantage pour la compétition !
]]>Pour celles et ceux qui se demandent bien ce que c’est un coup de , on parle ici des chaussures qui ont le plus séduit nos testeuses et testeurs sur le Big Test Shoes 2023. Chacun d’entre eux vote (par catégorie et par genre), les 2 chaussures (par catégorie et par genre) qui ont le plus de votes se voient décernées un award, le coup de des testeurs. ?
16 Coups de coeur dont 8 pour les chaussures femme et 8 pour les chaussures hommes. Soit 2 coups de par catégorie et par genre .
On commence donc avec les coups de 2023 qui remettent leur titre en jeu, avec une légère évolution tout de même.
“Sans nul doute l’un des gros coups de cœur de ce test ! La Skyfire 2 a littéralement cueilli nos testeuses avec ses qualités de haut vol. Dès le test à l’aveugle, la légèreté bluffante de la chaussure les a séduites. Le mesh très aéré permet une ventilation maximale. Le maintien du pied est excellent et se révèle irréprochable sur tous les terrains”
Synthèse des Testeuses du Big Test Shoes 2023 – MTL Skyfire 2
Voici ce que nos testeuses disaient de la Skyfire 2 en 2023, on a hâte de découvrir la version Matryx. En attendant, vous pouvez lire le test complet de 2023.
Là encore, on vous présente l’une des chaussures 2023 qui avait fait l’unanimité avec un très bon maintien et une bonne accroche pour trailer partout peinard . Coup de Homme 2023 en Ultra / All Tracks, la Genesis sera de retour cette année sous une version
Clairement axée sur la performance, cette nouvelle chaussure de Salomon ravira les coureurs aguerris ayant une pose de pied expérimentée et cherchant la vitesse sur tous les terrains.
Extrait du test complet de la Salomon S/Lab Genesis
Globalement, nos coureurs saluent les performances du modèle : l’accroche est excellente, l’adhérence est rarement prise en défaut, le déroulé et le dynamisme en font une Formule 1 très réactive, l’amorti faible répond parfaitement aux attentes de la catégorie. La semelle plus épaisse au talon incite à aller de l’avant. La protection, assez minime, répond aussi aux critères de la catégorie. Un cocktail réussi pour la Fuji Speed qui plaira aux trailers aux belles qualités de pied pour accélérer sur les sentiers secs et peu techniques.
Synthèse des testeurs du Big Test Shoes 2023
Retrouvez le test complet de la “grande soeur” Fujispeed, ainsi que l’ensemble des Coups deMountain Trail 2023 dans le comparateur trail.
D’ailleurs on vous dit vulgairement “remplace”, mais on parle bien sûr du Big Test Shoes et non du catalogue de la marque. C’est donc une nouvelle chaussure présentée par une marque qui vient “remplacer” la chaussure testée en 2023 dans la même catégorie.
Chez 361°, la Taroko 4 remplace la Taroko 3 (Coup de Road to Trail femme 2023). Craft, qui avait fait une entrée fracassante sur le Big test Shoes avec sa Craft Pro Endurance Trail qui avait remporté un coup de Road to trail homme 2023. Cette année, elle sera remplacée par la XPlor.
Hoka nous propose la Stinson 7 remplacera la ATR 7 ( homme 2023). C’est d’ailleurs la 1ère fois que l’on test une Stinson sur le Big Test Shoes !
Pour Salomon, la Glide Max TR remplace la Sense Ride 5 (Road to Trail femme 2023), la S/Lab Ultra remplace la S/Lab Ultra 3 v2 ( Ultra / All tracks Homme 2023) et la S/Lab Pulsar 3 remplace la S/Lab Pulsar 2 qui était Coup de Racing H & F en 2023 ! On a hâte.
Enfin, chez Saucony la Peregrine 14 remplace la Peregrine 13 ( H & F 2023).
“Depuis le lancement de la Tomir 1.0, NNormal a écouté attentivement les retours de ses athlètes et de sa communauté. En mettant en perspective ces précieux commentaires avec un processus de recherche intensif, la marque a donné naissance à une toute nouvelle version de la Tomir, sans jamais faire l’impasse sur la durabilité”
Extrait du CP Tomir 2.0 de Nnormal
La MT3 remplace la fameuse MT2 à la conception vieillissante (2020, mais à la base encore plus ancienne avec la Kalenji Kiprun Trail Mt, testé en 2017), que l’on a hâte de découvrir reliftée !
AH oui, c’est la chaussure la moins chère du test !
On est également ravi de tester cette Catamount Agil qui a tout d’un vrai produit Racing dynamique, qui vient compléter la gamme Catamount plus orientée Road to Trail, confort.
SALOMON Glide Max TR
SCOTT Kinabalu 3
ON Cloudsurfer Trail
SCARPA Golden Gate 2
BROOKS Divide 4
HOKA Stinson 7
CRAFT Xplor
MIZUNO Wave Daichi 8
MERRELL Morphlite
361° Taroko 4
ADIDAS Soulstride Ultra
ASICS Fuji Lite 4
SCOTT Kinabalu 3
ON Cloudsurfer Trail
SCARPA Golden Gate 2
361° Taroko 4
HOKA Stinson 7
CRAFT Xplor
MIZUNO Wave Daichi 8
MERRELL Morphlite
361° Futura
ASICS Trabuco Max 3
BROOKS Caldera 7
DYNAFIT Ultra DNA
HOKA Speedgoat 5
LA SPORTIVA Prodigio
LOWA Amplux
MERRELL MTL Longsky 2
NEW BALANCE Hierro V8
NNORMAL Tomir 2.0
ON Cloudultra 2
SALOMON S/Lab Ultra
RAIDLIGHT Ultra 4
SCARPA Spin Planet
361° Futura
ASICS Trabuco Max 3
BROOKS Caldera 7
DYNAFIT Ultra DNA
HOKA Speedgoat 5
LA SPORTIVA Levante
LOWA Amplux
NEW BALANCE Hierro V8
NNORMAL Tomir 2.0
ON Cloudultra 2
RAIDLIGHT Ultra 4
ARC’TERYX Vertex
ASICS Gel Trabuco 12
BROOKS Cascadia 17
INOV8 Trailfly Standard
KIPRUN MT3
LA SPORTIVA Bushido III
MILLET Intense
RAIDLIGHT Dynamic 3
SALOMON Genesis
SAUCONY Peregrine 14
SCOTT Ribelle Run Kalibra HT
ARC’TERYX Vertex
ASICS Gel Trabuco 12
KIPRUN MT3
INOV8 Trailfly Standard
LA SPORTIVA Bushido III
MILLET Intense
RAIDLIGHT Dynamic 3
SALOMON Genesis
SAUCONY Peregrine 14
SCOTT Ribelle Run Kalibra HT
ADIDAS Agravic Speed Ultra
ALTRA Mont Blanc Carbone
BROOKS Catamount Agil
HOKA Zinal 2
NEW BALANCE Supercomp Trail
SALOMON S/ Lab pulsar 3
SCOTT Supertrac Speed RC
THE NORTH FACE Summit Vectiv Pro
ADIDAS Agravic Speed Ultra
ALTRA Mont Blanc Carbone
BROOKS Catamount Agil
HOKA Zinal 2
NEW BALANCE Supercomp Trail
SALOMON S/ Lab pulsar 3
SCOTT Supertrac Speed RC
THE NORTH FACE Summit Vectiv Pro
Le Staff et l’équipe Test prendront la route du Pilat demain, pour s’installer à Saint Régis du Coin et sillonner les meilleurs sentiers du territoire jusqu’à vendredi.
Pour ne rien rater du #BIGTESTSHOES Instagram @trailsendurance ou Facebook Trails Endurance.
On vous conte chaque jour le déroulé du Big Test en stories et en posts ! Il y aura également des articles ici sur le site.
]]>La deuxième édition des UTMB® World Series Finals se déroulera du 26 août au 1er septembre à Chamonix sur les trois distances clés de l’UTMB Mont Blanc : l’OCC (50 km), la CCC® (100 km) et la course phare, l’UTMB® (100M). La liste des inscrits laisse apparaitre de nombreuses pointures qui joueront la gagne, ou le podium….
Les quatre des cinq premières filles du Dacia UTMB Mont-Blanc 2023 sont inscrites pour 2024, dont Katharina Hartmuth (GER), Blandine L’Hirondel (FRA), Fuzhao Xiang (CHN) et Maite Maiora Elizondo (ESP).
Mais aussi Ruth Croft (NZ), 1ère de l’OCC en 2019 et 2018 et 1ère Tarawera Ultra-Trail by UTMB® 100K en 2024, Marianne Hogan (CAN), 2e de l’ UTMB en 2022, Sabrina Stanley (USA), 1ère de la Hardrock 100 en 2021 et 2018, Eszter Csillag (HUN) 3ème de la Western States® 100-Mile Endurance Run en 2023.
Chez les hommes, Germain Grangier (FRA) cherchera très certainement à améliorer ses résultats de l’an passé où il avait terminé sur le podium. A ses côtés, Tom Evans (GBR) qui était sur le podium en 2022 et vainqueur de la Western States 100-Mile Endurance Run en 2023, re-tentera l’expérience après son abandon sur le l’épreuve l’année dernière. Le coureur espagnol Pau Capell (ESP), vainqueur en 2019 sera également de retour à Chamonix.
Sans oublier :
Dmitry Mityaev (AND) – 1er Ultra-Trail Cape Town 100K en 2023, Hannes Namberger (GER) – 8ème en 2023. L’ancien cycliste professionnel Christian Meier (CAN) , vainqueur de la TDS en 2023, fera aussi des débuts attendus sur l’UTMB cette année.
De nombreux talents féminins seront également à retrouver sur la CCC, avec les dix premières finishers de 2023, dont Hau Ha Thi (VNM), Emily Schmitz (USAetEmmiliese Von Avis (USA) de retour en 2024.
Chez les hommes, la liste comprend le vainqueur de 2022, Petter Engdahl (SWE), ainsi que le vainqueur 2022 de la Western States 100-Mile Endurance Run 100K, Adam Peterman (USA), aux côtés de Hayden Hawks (USA) qui a déjà une victoire en 2024 à son actif avec Black Canyons Ultras 100K.
L’OCC compte également de nombreux noms connus parmi les meilleurs finishers de l’année dernière, notamment Toni McCann (RSA) qui défendra son titre de championne Elite Femmes, Miao Yao (CHN), Caitlin Fielder (NZL), Daniela Oemus (DEU) et Rachel Drake (USA). La gagnante de la CCC 2023, Yngvild Kaspersen (NOR), et Sunmaya Budha (NEP), sur le podium de la CCC 2022, auront également les yeux rivés sur la finale de la catégorie 50K des UTMB World Series.
Louise Serban-Penhoat (FRA), est également un jeune talent de 25 ans à suivre. Elle a terminé 8ème lors de sa première OCC l’année dernière.
Du côté des hommes, Francesco Puppi (ITA) sera l’un des principaux prétendants à la victoire puisqu’il cherchera à améliorer sa deuxième place de 2023. Antonio Martínez Perez (ESP) sera également en quête de la première place, ayant terminé sur le podium derrière Francesco Puppi en 2023.
Athlètes élites inscrits à ce jour (liste non exhaustive) :
https://montblanc.utmb.world/fr/races-runners/top-ranked-runners-2024
Si vous cherchez une destination pour pratiquer la course à pied, pour profiter, et pour tomber amoureux des paysages, de la gastronomie et des activités culturelles, alors l’île de Minorque et le Camí de Cavalls sont faits pour vous. En 2024, Minorque accueille cinq courses de trail running le long du Camí de Cavalls, un sentier ouvert et balisé toute l’année qui est le théâtre de cinq courses parrainées par la Fundació Foment del Turisme de Menorca.
La première course de la saison 2024 est la Trail dels Fars. Les coureurs, de niveaux différents, ont le choix entre trois distances. La première distance, certainement la plus populaire, est de 12 km. La deuxième distance correspond à celle d’un semi-marathon. Son départ est donné dans une zone particulièrement vierge et naturelle, à savoir sur la plage de Ets Alocs à Ciutadella. L’évènement phare est bien entendu le marathon et ses 46 km et 1200 m de dénivelé positif. Cette épreuve débute au pied du Phare de Cavaleria, un des plus beaux endroits de l’île. La course a eu lieu le 4 février.
Le 13 avril, l’arrivée du printemps sera marquée par une nouvelle course, à savoir la Trail del Nord. Les coureurs auront une nouvelle fois le choix entre trois distances : 46 km, 24 km, et 12 km. Le départ de la course la plus longue sera donné sur la Falaise de Cala Morell. La course guidera les coureurs au travers de quelques lieux impressionnants comme les plages Cala Pilar, Binimetl là, et Pregonda, ou encore le château Santa Águeda, l’un des vestiges de la domination musulmane les mieux conservés de l’île. La course de 24 km sera quant à elle lancée sur le parking de la plage Cala Pilar, et celle des 12 km sur le chemin de Binimetl là. Un concert sera organisé à l’arrivée des différentes courses, dans la zone d’arrivée. Les participants pourront également récupérer de la course lors d’une pool-party.
En mai, aura lieu l’évènement le plus important de tout le trail running de Minorque : La Trail Menorca Camí de Cavalls. Plus de 2000 personnes sont attendues ces 3, 4, et 5 mai. Au programme, huit itinéraires différents permettant chacun de découvrir Minorque. L’option la plus intense est la suivante : 185 km de course, en solitaire, de part et d’autre de l’île. Cette course peut également être disputée lors d’un relais d’au moins 3 équipiers. Vous pouvez également participer à une impressionnante course de nuit de 100 km, le long de la côte nord de l’île, qui vous offrira la possibilité de contempler l’un des levers de soleil les plus beaux et les plus sauvages que vous ne verrez jamais dans votre vie.
Une course de 85 km sur la côte sud de Minorque, traversant certaines des plages vierges les plus belles des îles Baléares voire d’Espagne, sera également organisée. Les coureurs peuvent également décider de prendre part à la course de 58 km, une course plus technique, avec plus de dénivelés, et une distance plus courte sur la côte nord de l’île ; ou au marathon de 45 km sur la côte sud ; ou encore le semi-marathon de 24 km qui se déroulera dans une zone rocheuse de l’île. Petite nouveauté de cette année : une course pensée pour les personnes ne se sentant pas capables de parcourir des distances aussi longues, mais qui souhaitent tout de même participer à l’évènement. Il s’agit d’une course de 11 km qui se déroulera le vendredi 3 mai, au nord de l’île.
La ligne d’arrivée de toutes les courses se trouve dans le centre historique de Ciutadella. Une fois arrivés, les participants et leurs accompagnants pourront profiter d’une expérience unique, dans la zone FINISHER, où ils pourront déguster des spécialités locales et profiter de la musique et de la très agréable ambiance.
Après la trêve estivale, imposée par l’été et la chaleur, il sera temps de se remettre au sport afin de pouvoir prendre part à l’énigmatique Trail dels Fars Nocturna. Le départ de la course, d’une distance de 23 ou 13 km, sera donné le samedi soir, à la lumière des étoiles, devant l’impressionnant phare de Favàritx. Tous les amateurs de trail running, tous niveaux confondus, sont invités à participer à cette charmante course.
L’October Trail clôturera cette saison de courses. Au fil des années, ce simple évènement sportif s’est transformé en un véritable festival du sport, où les participants peuvent profiter d’une expérience gastronomique et culturelle unique. Les coureurs auront le choix entre 3 distances différentes à parcourir entre Son Bou (34 km), Cala Mitjana (19 km), Cala Turqueta (11 km), et Cala’n Bosh où ils pourront se reposer dans le magnifique Lago Resort Menorca, l’hébergement officiel des coureurs. Plus de 200 personnes sont déjà inscrites à cet évènement sportif devenu mythique dans les Baléares. Le départ de la course aura lieu le 26 octobre.
]]>Par Mathieu Bertos
La course historique est le 21 km avec 1100 m de dénivelé. Dernière course du week-end, ils sont près de 900 uniquement sur cette distance ! Les parcours sont typiques du Pays Basque : on passe de chemins larges et plus ou moins roulants, à quelques singles abrupts et techniques, quelques passages gras, quelques ruisseaux à traverser… Tout cela offre une belle variété mais qui peut aussi user les organismes. Quand le temps le permet, le décor est bien sûr superbe, avec la côte et l’océan en vue, ou bien le sommet de la Rhune (905 m) que le 42 et le 80 km iront rejoindre.
Le club du Spuc Lasterka déploie une horde de bénévoles pour accueillir au mieux tous ces traileurs, avec dynamisme et passion. Le tout est bien rodé ! La météo peut souvent jouer des tours, rendant le terrain ou les conditions difficiles. Cette année, c’est surtout un vent puissant et en rafales, tantôt froid et déséquilibrant, qui a surpris tout ce beau monde.
Silvia Ainhoa Trigueros, vainqueur de la Pica Pica et 2è du Tor des Géants 2022 s’offre l’épreuve en 11h29’48. Elle aura bataillé avec Roxanne Augé, qu’elle devance de 15 minutes.
Chez les messieurs, Maxime Castillon réalise le doublé avec 2023, mais ce fut chaud face à Anthony Pipitone, vainqueur du 100 Miles Sud de France et 2e du Swiss Canyon Trail. Il y aura seulement 6 minutes à l’arrivée, parcours bouclé en 9h36 !
Grosse bataille où on aura vu aux avant-postes Romain Lacaste (vainqueur au Baïgura et au Montan’Aspe) et Guillaume Beauxis (6e de la TDS). Ce sera finalement Unaï Zialtzeta Mendizabal qui décroche la victoire en 4h09 ! Belle victoire pour ce spécialiste des courses basques.
La marraine de l’épreuve, Maïté Maïora Elizondo (5e du dernier UTMB) honore son statut en terminant 2e de la course, d’un souffle ou presque, battue par sa compatriote Sonia Lopez Banuelos (4e au Val d’Aran by UTMB 2022) d’un peu plus d’une minute !
La victoire et le record de l’épreuve pour un local très solide en la personne de Damien San Martin (2e de la Sara Korrika). Nouvelle marque en 1h39’48 !
Chez les femmes, Ainara Urrutia Yurrebaso, spécialiste des manches de Skyrunning (14e à Limone, 3e Ultra Skyrunning Madeire) devance de 3 minutes la très célèbre basque d’adoption, Maud Combarieu. 1h59’34 pour le chrono.
La victoire et le record de l’épreuve pour Maëva Danois, tout juste sortie d’un stage d’une semaine avec le Team Asics. Celle qui a rejoint les Esclops d’Azun réalise un chrono de 51’50. C’est le local Chris Mate, en 48’04, qui remporte la course chez les messieurs.
Tous les résultats : https://pb-organisation.com/resultats/senpereko-trail-2024/
]]>Mais l’équipe de Serge Jaulin aura montré des qualités d’adaptation exceptionnelles en proposant des parcours de repli qui auront pu satisfaire l’ensemble des coureurs.
Dans la journée de samedi, Sylvain Court et Marie-Laure Thieux sortaient vainqueurs du format long, initialement prévu à 75km, mais réduit à 52 km et 2800+ sur le parcours de repli. Les conditions restaient épiques, avec de la neige sur plus de 10km, du vent très fort, et des conditions dantesques en altitude avec du vent à 100 km/h et -10°C au sommet.
Le lendemain dimanche, c’était au tour des athlètes du format Origine de s’élancer sur un parcours tout aussi enneigé, puisque de grosses chutes de neige avaient eu lieu dans la nuit, créant des congères. L’organisation a d’abord pensé envoyer les coureurs sur un parcours de substitution, avant de finalement renvoyer les coureurs sur la trace de 46km. Mais en cours de route, le parcours a été modifié, avec finalement une boucle autour du Jas de la Couanche dont tout le monde était satisfait.
Au final, Thomas Cardin l’emporte devant Thibaut Garrivier et Loic Rolland.
Chez les filles victoire de Adeline Martin devant Marine Quintard et Sabine Ehrstrom.
Avec Fred Bousseau
]]>32 athlètes, venus de 9 pays, se sont retrouvés dans les installations parfaites du CREPS de Vallon Pont d’Arc et sur les multiples sentiers ardéchois pour une semaine d’entraînement et d’intégration. 22 personnes entouraient les sportifs, entre membres du staff, médecins, kinés, physio, coachs, équipes photo et video, directeurs de tournage, et spécialistes du développement produit, dont un Japonais venu du célèbre centre de recherche de Kobe, le RISS, afin de travailler avec les athlètes sur les nouveaux produits de la gamme ASICS.
Différents thèmes ont animé la semaine :
La saison avait déjà commencé pour le Team ASICS, notamment pour le groupe « Hémisphère Sud », lors du Tarawera Ultra Marathon by UTMB : Dan Jones y remportait le 100K, et Matthew Healy terminait 3e. Sur le 50K, le team a trusté les 3 places du podium masculin avec Ronnie SPARKE, Charlie HAMILTON et Yutaro YOKOUCHI.
Début février, le team avait aussi dépêché 9 athlètes sur la TransGranCanaria. Avec la victoire de la nouvelle recrue Antonio Martinez sur le 23Km (et la 4e place de Diego Menéndez Rodriguez-Noriega), la 2e place de Greta GARCÍA MORÁN sur le marathon, la victoire du Polonais Andrzej WITEK sur le 80km, la 5e place de Diego Menéndez Rodriguez-Noriega sur la Starter, et la 6e place de Andreu Simon sur la Classic.
Prochaines étapes de la saison : Le Chianti Ultra Trail by UTMB (22-24 mars) avec 9 coureurs engagés sur les formats 50K -70K – 100K, puis le Mont Fuji 100 (26-27 avril) pour Andreu Simon, qui s’attaquera à son premier 100 miles !
Photo The Adventure Bakery
]]>L’équipe d’organisation a communiqué aujourd’hui sur le fait que les parcours de replis seront empruntés lors de cette édition du Trail du Ventoux 2024. Les deux courses de samedi sont impactées par les prévisions météo qui annoncent neige, orage, vent violent et précipitations importantes dans l’après-midi du 9 mars. Afin de garantir lé sécurité des coureurs, et notamment lors des longues portions de crête exposée ou sur les partes enneigées, le parcours du 75 km est fortement modifié. Il fera au final 52 km et 2700 m de dénivelé positif environ. La parcours initial de l’X Trail 75 km était enneigé sur 35 km avec une épaisseur allant jusqu’à 30 cm et des congères importantes par endroits. Idem sur le 46km, avec une vingtaine de kilomètres enneigés. Le balcon des jas 29 km est enneigé sur 5 km.
Pour la course phare du dimanche, le 46km, le parcours de substitution évitant le sommet est aussi privilégié, soit 47km et 2500m de D+ environ.
Sur cette dernière épreuve, un plateau de choix est proposé, avec chez les hommes Thomas Cardin (ITRA 910), vainqueur en 2022, Thibaut Garrivier (910), 2e en 2023, Anthony Felber (890), Benoît Galand (852) ou Andy Symonds (851).
Chez les filles, les favorites se nomment Marine Quintard (ITRA 742), Jessica Pardin (716), Sabine Ehrstrom (710), Stéphanie Reymond (3e en 2023) ou encore Laure Paradan, nouvelle recrue du team Sidas Matryx, et championne de France de Trail long 2022.
Photo d’Archive
]]>Un parcours de 3,2km et 500m D+ entre Courchevel Le Praz et Courchevel 1850 que Mathéo Jacquemoud, vainqueur des éditions 2013 et 2016, connait sur le bout des spatules. Dans des conditions météo excellentes, il signe sa 3ème victoire de la saison avec un nouveau record personnel de 22min04s, un temps canon qui le conforte dans sa 5ème place au niveau du classement général provisoire. Pour rester dans le top 5, il va devoir s’accrocher. Pour preuve, il est talonné par Yoann Sert qui grignote quelques secondes à chaque apparition. Avec une performance de 22min30s, il prend la seconde place de l’étape et grimpe à la 6ème position du CGP.
Après une année 2023 euphorique (victoires sur l’UTMB et les MSTC), l’Américain Jim Walmsley a conclu un chrono de 23min17s, synonyme de la 3ème marche du podium et d’un top 10 au général provisoire. Lors des deux dernières manches, il devrait grimper dans la hiérarchie s’il parvient à approcher son record personnel de 21min51s.
D’autres grosses pointures étaient au rendez-vous chez les hommes à l’image de Robin Galindo, 8ème en 24min21s après s’être offert sa première médaille d’or en Coupe du Monde de ski alpinisme il y a 2 semaines sur l’épreuve de sprint disputé à Val Martello en Italie ou encore le traileur Rémi Berchet, 5ème du Grand Raid de la Réunion, qui se classe 14ème en 26min12s.
Belles performances également pour les membres de l’équipe de France de ski alpinisme jeune : Célestin Guillon réalise un temps de 26min05s et prend le commandement du classement général provisoire en catégorie U18, Jules Raybaud fait de même en catégorie U20 en signant un chrono de 24min03s.
Duel de haut de tableau entre les 2 sociétaires du club organisateur Courchevel Sports Outdoor, Lucille Germain et Laura Deplanche. Pour 5 secondes, Lucille claque une 4ème victoire en 27min47s et conserve sa 5ème position du classement général provisoire. Pour sa part, Laura, après avoir disputé 7 sprints, 5 relais mixtes et 1 Individuelle en coupe du Monde, accomplissait sa première montée de Vertical Race de la saison en 27min52s. L’Américaine Jessica Brazeau (épouse de Jim Walmsley), 2ème du Nice Côte D’Azur by UTMB 2023, vient compléter le podium en établissant un nouveau record personnel en 28min44s.
Loanne Roussillon, membre de l’équipe de France de ski alpinisme jeune, termine en quatrième position en 29min52s et conforte sa seconde place au CGP, catégorie U20.
A noter la participation d’une belle délégation du Lycée Reinach de La Motte Servolex emmenée par les frères Léo et Tom Gauche.
Avec 9800€ de prize money et 4800€ de bons d’achats mis en jeu sur cette saison 14, nul doute que la lutte pour les tops 5 hommes et femmes et les victoires par catégories sera indécise jusqu’à son terme. Avec la Pierra Menta qui aura lieu la semaine prochaine, beaucoup de coureurs en classe élites vont faire l’impasse sur la 15ème et pénultième manche des MSTC ce mercredi 13 mars, à l’exception de certains comme Jim Walmsley qui pourrait en profiter pour réaliser un coup d’éclat !
Cette année, la finale sera conclue par un concert phénoménal du groupe Deluxe va venir clôturer cette grande fête du ski alpinisme. Kilo, Kaya, Pietre, Soubri, Pépé et Liliboy seront vêtus pour l’occasion de costumes encore plus déjantés, colorés et brillants à l’intérieur d’une scénographie totalement revisitée qui laissera encore plus de place à leur explosivité et leur dynamisme communicatif. Sans oublier leur emblématique moustache qui sera de nouveau mise à l’honneur autour d’une performance musicale et visuelle encore plus folle ! Depuis le début de cette édition, des records de participation sont enregistrés chaque mercredi et cette dynamique risque de faire exploser les compteurs pour la finale qui devrait rassembler près de 800 participants.
Prochain rendez-vous : – 15ème Millet Ski Touring Courchevel le samedi 13 mars 2024
Infos et résultats : www.courchevelsportsoutdoor.com
Si vous viviez sur une autre planète ou que vous n’aviez jamais mis les pieds sur les sentiers avant, Le Big Test Shoes de Trails Endurance c’est l’évènement Test Chaussures Trail de référence. Cette année pour la 14ème édition de ce testing représentatif du marché, on est très heureux de compter Odlo comme partenaire textile exclusif. Encore plus cette année où, Odlo sort une collab avec l’ONG Protect Our Winters (POW) Switzerland.
Protect Our Winters est une ONG fondée par la légende du snowboard, Jeremy Jones, dont le but est de renforcer l’engagement de la communauté outdoor en faveur de la protection du climat à travers une communication positive et des actions de sensibilisation, tout en intégrant des considérations de politique sociale. Odlo présente sa collection 100 % recyclée, Zeroweight Running, co-conçue avec POW.
ODLO et Protect Our Winters Switzerland sont partenaires depuis 2021, la marque soutenant l’ONG dans ses campagnes de sensibilisation au climat dans le cadre de son initiative de durabilité “We can do more”
L’année dernière, ils ont étendu leur relation à des capsules de vêtements co-conçus, avec le lancement des baselayers Odlo x POW Blackcomb, s’efforçant d’utiliser leur influence collective pour étendre la sensibilisation à la crise climatique. Ils sont maintenant fiers de lancer leur deuxième collaboration de produits en mars – la capsule de course Odlo x POW Zeroweight.
Entièrement recyclée, la capsule de course Odlo x POW Zeroweight a été développée en collaboration avec POW afin de minimiser son impact sur l’environnement. Les pièces présentent un design accrocheur, inspiré de l’eau, spécialement créé pour sensibiliser au problème croissant de la pénurie d’eau et des risques liés à l’eau, provoqués par le changement climatique.
La ligne de vêtements Zeroweight est conçue pour offrir des performances fiables dans les conditions plus chaudes et souvent imprévisibles du printemps et de l’été, en combinant confort, style et respirabilité avec une protection légère contre les éléments. C’est pile ce qu’il nous faut pour un Test trail en pleine nature au mois de mars !
Le Team Odlo X Alpi basé sur Annecy était déjà équipé avec cette capsule sur le High Trail Vanoise 2023 à Val d’Isère.
Pour le Big Test Shoes 2024, une partie de la tenue testeur sera issue de la collection Odlo x POW Zeroweight. On a donc hâte de voir gambader nos testeuses et testeurs, tout d’Odlo vêtus !
Le Big Test Shoes c’est 20 personnes, testing team et Staff compris. Afin de donner un regard avisé sur les nouveautés du marché peu de temps après leur sortie, on est contraint d’organiser ce test très tôt dans l’année. Ce qui n’est pas forcément gênant, à condition d’être bien équipés !
Fin de l’hiver, début du printemps, chaleurs passagères, giboulées de mars, il faut savoir jongler car cette période de l’année nécessite souvent une tenue évolutive. Bas long, veste et baselayer chauds et techniques, mais aussi un short et t shirt techniques adaptés… Bref, vous l’avez compris, les testeurs doivent être très bien équipés pour faire face à toutes les conditions. Grâce aux vêtements haute performance Odlo, nos testeurs seront parfaitement préparés pour mieux courir et tester !
On ne peut pas encore vous partager tous les équipements, on vous montre les nouveautés bientôt
Odlo x POW Zeroweight Chill-Tec T-shirt –
Short 2-in-1 de trail running à l’entrejambe X-Alp –
Chaussettes mi-hautes Ceramicool –
T-shirt technique Performance Warm
Veste de Running Imperméable Zeroweight Dual Dry waterproof
Collant Running Zeroweight
Gants – Ceramiwarm Light –
Bandeau Odlo
Une belle panoplie pour affronter tous les temps du printemps, non ? Merci Odlo !
Vous pouvez retrouver toute la collection running d’Odlo sur leur site.
]]>Parcourir la Réserve Naturelle des Gorges de l’Ardèche, descendre le long des gours de la Grotte Saint-Marcel, franchir la rivière sur un pont de canoës : telles sont quelques-unes des bonnes raisons de vous inscrire au Trail des Gorges de l’Ardèche, qui se déroulera le dimanche 19 mai 2024.
Tous les parcours passent par un pont de canoës qui enjambe l’Ardèche, mais avant d’arriver à ce passage singulier et de viser la ligne d’arrivée, à Saint-Martin-d’Ardèche, il faudra en baver !
Plus ou moins, selon la distance choisie, mais assurément un peu, car s’ils se déroulent sur des sentiers exceptionnels et atypiques, les différents formats du Trail des Gorges de l’Ardèche proposent des parcours exigeants et techniques.
Ce ne sont pas moins 4 formats qui vous sont proposés pour découvrir cet environnement absolument unique. L’Ultra des Gorges, qui s’adresse à des coureurs avertis, est le format le plus long mais aussi le plus magique, avec ses 73 km et 2810m D+.
Tout aussi exigeant mais plus accessible, la Traversée propose 42 km et 1690m D+.
Les deux derniers formats, les plus populaires, s’étirent respectivement sur 26 km et 1090m D+ pour les Balcons et 11 km et 390m D+ pour la Découverte qui est le seul itinéraire à ne pas emprunter la Grotte de St-Marcel.